Les juifs n’apprécient pas le geste du maire de New York
La communauté juive de New York voit de mauvais œil les repas gratuits offerts par la maire de New York De Blasio pendant le mois de Ramadan , selon Stream, un média américain.
L’auteur de l’article, Timoty Fornich, se présente comme spécialiste d’islam, mais il a du oublier de préciser sur son compte linkedin qu’il est aussi islamophobe. Fornich dans un long papier fait le procès au maire de New York, De Blasio, pour son geste en vers les nécessiteux musulmans new-yorkais en ce mois béni du Ramadan.
Le spécialiste rappelle que “Les 8,3 millions d’habitants de la ville de New York sont à 57 % chrétiens, 7 % juifs et seulement 3 % musulmans. (L’ensemble des États-Unis, d’ailleurs, est composé à 76% de chrétiens, 1,5% de juifs et 0,9% de musulmans). Pourquoi le maire choisit-il l’un de ces groupes religieux et lui accorde-t-il un traitement spécial ?” .
Ce que l’islamophobe ne dit pas est que les 500.000 repas pendant le mois de ramadan sont destinés à seulement 3% de la population musulmane de la Pomme (8300 personnes). L’argent des contribuables de l’État et utilisé pour venir en aide aux habitants de la capitale économique des USA, musulmans, chrétiens et juifs. Les familles juives, chrétiennes et dans le besoin ont eu droit aussi à des repas (casher pour les juifs) mais pas pendant Pâques / Carême intervenus avant la propagation du coronavirus.
Rappelons aussi que ce plan d’aide fait partie d’un vaste plan COVID-19 comportant plus de 10 millions de repas pour les habitants de NYC.
Le pseudo spécialiste crée tout une théorie sur l’islamophilie du Parti démocrate, le parti anti-chrétien et pro-islamique d’après lui. Il profite pour rappeler que le maire démocrate de Minneapolis a approuvé l’appel musulman à la prière diffusé cinq fois par jour, dans le quartier de Cedar-Riverside. Le maire démocrate et le conseil municipal de Paterson, N.J., ont fait de même.
Dans un pays comme l’Amérique les minorités (les musulmans entre autres) ont toujours été représentés et secourus. Fornich oublie que les églises sonnent le glas depuis des décennie en cette terre d’Amérique, autorisé l’appel à la prière musulmans ne devrait pas offusqué un “philosophe” libéral.